8 décembre 2021
En changeant notre regard sur l’espace public et l’aménagement du territoire, les activités d’agriculture urbaine servent parfois d’engrenages qui mènent à une plus grande implication citoyenne. Réflexions avec les professeures Geneviève Cloutier (Université Laval) et Laurence Bherer (Université de Montréal). | En posant des actions directes pour verdir son quartier, en créant des lieux d’échange avec ses voisins, on en vient à réfléchir à ce qu’on aimerait pour notre milieu de vie. Parce que participer à quelque chose, c’est déjà se l’approprier un peu, un engagement dans un projet d’agriculture urbaine peut bien mener à une mobilisation pour se réapproprier l’espace collectif.
Photo : Carré Casgrain
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L’engagement pousse là où on le sème, aux Éditions Écosociété, par Geneviève Cloutier, Laurence Bherer et Françoise Montambeault